mardi 28 octobre 2008

Bilan du Mardi

J'ai trouvé la présentation des différents outils de google intéressante. Cela m'a permis d'avoir une vue d'ensemble sur les possibilité d'utilisation du web.
Google Document est trés intéressant, il offre une liberté d'action pour un travail en groupe qui est non négligeable (travail en commun à distance). Je souhaite l'utiliser à l'avenir et compte utiliser régulièrement les outils que proposent google.
Pour une institution, Google Document, serait un trés bon outils. Mais je ne pense pas que l'on puisse l'utiliser à l'heure actuel car une grande partie des travailleurs sociaux ne sont pas farouche d'informatique. Lorsque la génération "internet" représentera la major partie des travailleurs sociaux, alors cet outil sera utilisé comme un outil de travail essentiel à la pratique.
L'exposition des articles sur le web par le biais du blog est nouveau pour une bonne partie d'entre nous. Par conséquent nous sommes un peu sur la réserve dans ce domaine que l'on découvre et dont on ne connais pas tous les aboutissant. L'image que j'ai en tête, c'est de lacher une partie de nous dans une foule et ne pas savoir ce que la foule va en faire.
L'identité numérique est une protection face au monde virtuelle, un lien entre le réel et le virtuel. C'est ce qui nous permet de nous identifier et de nous protéger face aux flux d'informations que nous ne controlons pas.
Le blog personnel pour un travailleur social peut lui permettre de comprendre ce nouveau mode de communication, cette nouvelle forme de social. Ceci pourrais peut être lui permettre, dans sa pratique professionelle, de mieux comprendre et communiquer des personnes blogueurs.

1 commentaire:

Stéphane Leprince a dit…

Et ils sont où les éducateurs militants, qui ont envi de brasser les choses?
Si vous, vous ne bougez pas les choses , alors qui??? C'est votre tour de brasser un peu!
C'est bien normal que vous soyez sur la réserve, sinon, j'aurai peur d'avoir face à moi des éducateurs moutons :-)
ais ce n'est pas non plus parce que beaucoup y vont qu'il faut trainer les pieds.
Nous sommes français et c'est un mal bien français d'opposer de la résistance aux nouveaux outils, aux nouveaux modes d'expression.
Déjà au temps de l'imprimerie les craintes et les peurs ont freiné l'arrivée de cette révolution.